~ de guerre lasse
étrangère à toute horde
voyageuse immanence, centre Terre~Conscience
A toi qui, retirée de tout rien qui ne palpite de vie,
offre pardon à l’évidencéicide,
et danse sur les ruines de virtualités.
A toi qui venue donner, recueillir,
sans rien mander ni prendre, n’as plus besoin ni mot,
hors frémir nos unissons des mondes.
A toi qui en plein cœur, d’amour débordant,
la mort tutoyant, joue en déconcertation,
souffle Vie aux biens venus mystères ….
aux temps d’Histoire où tout revient à Soi,
la mort amie, alliée à ton flanc, tu savais infiniment
avant que de naître, que d’Être, renaître d’oubli.
lorsque corps nous quitte, jamais l’E†herΔnité
« qu’un homme apprend à voir il se rend compte
qu’il ne peut plus penser aux choses qu’il regarde,
et s’il ne peut plus penser à ce qu’il regarde
tout devient sans importance. »
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